Le 21 mai 2024, Maître Amélie Beauchemin a apporté des précisions notamment sur les conséquences, en termes d’obligations de coopération et d’arrestation, pour l’ensemble des États parties au Statut de Rome, que pourraient avoir les mandats d’arrêts requis par le Procureur de la CPI, sous réserve qu’ils soient confirmés par la Chambre préliminaire de la Cour. Cet échange fut l’occasion de rappeler tant que le cadre que les principes juridiques gouvernant ces questions.