William JULIÉ commente en particulier le risque d’utilisation abusive des notices rouges par le régime syrien : « À l’évidence, cet outil pourra être utilisé par le régime syrien pour essayer d’atteindre des gens au même titre qu’il est utilisé par d’autres puissances présentant ce type de problématique comme la Chine ou la Turquie. Après la tentative du coup d’État contre Erdogan en 2016, environ 60 000 demandes de notices rouges ont été envoyées dans la foulée, à l’encontre en grande partie, d’opposants. »