Maître William JULIÉ explique que, suite à la pression mise par la communauté internationale, que ce soit à travers les Nations-Unies ou encore des demandes de condamnation devant la Cour Européenne des Droits de l’Homme, la France a enfin permis le rapatriement de femmes et enfants en camps syriens. Leur futur dépendra ensuite des témoignages des mères sur leur possible lien avec le djihadisme. En attendant d’être jugées, elles seront arrêtées et incarcérées pendant que les enfants seront placés temporairement en famille d’accueil. Une politique de réinsertion reste encore à définir.