Skip to main content

Interpol retire l’‘éco-pirate’ américano-canadien, militant anti-chasse à la baleine, de sa liste des personnes les plus recherchées

Maître William Julié a commenté la décision d’INTERPOL de retirer la notice rouge émise par le Japon contre Paul Watson, qui était en vigueur depuis près de quinze ans. Le fait que Paul Watson a pu voyager librement durant cette période entre la France et les États-Unis montre que ces deux États ont considérés dès le départ la poursuite japonaise comme disproportionnée. Maître William Julié a précisé que, bien que le mandat d’arrêt japonais contre Paul Watson reste actif, son retrait du Système d’Information d’INTERPOL diminue le risque d’arrestation dans un autre État que le Japon.