Maître William JULIÉ intervient suite à l’avis défavorable donné par la chambre d’instruction sur l’extradition de dix anciens militants d’extrême. Leur protection sous la ‘doctrine Mitterrand’ maintenant terminée, le gouvernement italien souhaite les rapatrier afin de les juger pour des actes terroristes commis dans les années 1970’s. La chambre d’instruction s’est basée sur le droit à la vie privée et vie familiale, ainsi que le droit au procès équitable, protégés dans la Convention Européenne des Droits de l’Homme. Les parties restent dans l’attente d’un possible pourvoi en cassation par le Procureur général.